dimanche 24 juillet 2011

Voyage Madagascar : Balade en pirogue dans les pangalanes

Les pangalanes sont un ensemble de lacs qui ont été reliés entre eux par des canaux. Ils forment une étendue d'eau le long de la côte est de madagascar sur une longueur de 670 Km. Manakara est une ville situé au bord de la partie sud des pangalanes.
 Nous avons fait une balade d'une journée en pirogue sur le canal.

Notre pirogue pour la journée. 

Le village de pêcheur d'où nous sommes partis. 

Sur le canal. 

Des oreilles d'éléphants. 

Une pirogue derrières les herbes et des nasses à langoustes. 

Transport de bois en pirogue.
Le canal est un vrai moyen de communication pour les transports. 

Nasse à langoustes. 

Mise en sac du charbon de bois. 

Un embarcadère à pirogue. 


Transport familiale à moto. 

Zébu, zébu soif. 

Transport. 


A côté du canal, une petite bande de terre et la mer. 




Les pirogues des pêcheurs. 





Un vendeur d'objets en bois essaye de vendre. 

Retour d'un pêcheur dans les vagues. C'est sportif. 


Anne-Marie et les dents de la mer. 

Les enfants tapent le carton,

pendant que les langoustes mijottent. 


Décor d'une maison. 


Sur le canal. 








Transports au bord du canal. 




A la bouffe : du poisson (pas de langoustes, ils n'y en avait plus à acheter). 


Spectacle de danses traditionnelles du Sud. 

Retour sur le canal. 






Une petite pose pour aller visiter la distillerie des huiles essentielles. 

Un arbre gobe mouches. 

La distillerie. 

Un caféier : sa fleur,  

ses graines. 

Retour dans notre pirogue. 

Un enfant relevant les nasses à langoustes avec sa pirogue. Environ 2 millions d'enfants travaillent à Madagascar souvent pour des travaux bien plus durs. Ce pays a tout (ressources minières, agriculture florissante, beauté du pays ...) pour que les gens y vivent bien. La corruption généralisée et la main mises sur les ressources par les enteprises internationnales laissent le peuple dans une terrible misère même si les gens travaillent très durs. 




Retour au village de pêcheur d'où nous étions partis le matin. 

Retour en ville en pousse-pousse. 

1 commentaire:

  1. je n'aimerais pas aller en mer avec ces pirogues...
    Ce qui me surprend aussi c'est que je n'en ai pas vu avec un moteur. Tout à la rame, ça en dit long sur l'état économique du pays !

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